Sogeti et TEHTRIS sont heureuses de partager ces quelques pages sur le risque des rançongiciels et les façons de s’en prémunir. Il s’agit de la plus critique des cyber-menaces de 2021, priorité de l’année pour les responsables de la sécurité des systèmes d’information d’organisations de toutes tailles.
Quelques chiffres pour planter le décor : les attaques de rançongiciels affectent la majorité des entreprises et administrations : environ 90% selon Proofpoint, 65% selon McAfee.
La tendance est à une croissance exponentielle : hausse de 50% sur le dernier trimestre 2020 par rapport au début de l’année (source Check Point) ! On commence à s’habituer au bestiaire qui a défrayé la chronique en 2020 : Maze, Ryuk, mais aussi Sodinokibi, Netwalker, Ragnar Locker, Nefilim, Egregor…
Certes les chiffres fournis par les éditeurs de cybersécurité ne sont pas totalement fiables, mais la tendance n’est pas contestée : les attaques de rançongiciels sont de plus en plus répandues et personne n’est à l’abri, depuis la grande entreprise jusqu’au petit établissement local. Ce dernier a d’ailleurs plus de mal à se protéger que la première, ne disposant que de faibles budgets dédiés et de rares compétences spécialisées.
